La signature électronique est longtemps restée une Arlésienne au
Luxembourg. On en parlait (beaucoup) mais on n'en voyait pas l'ombre d'un paraphe. Elle en était devenue un véritable-cheval de bataille du ministre de l'Economie, Jeannot Krecké, qui ne cessait de marteler l'importance pour le développement de l'économie luxembourgeoise.