Une analyse du recours au travail frontalier dans la période récente, marquée par un fort ralentissement des créations d’emplois, montre que les non-résidents ont été moins affectés par la dégradation de la conjoncture que les résidents (en particulier les résidents étrangers). Le taux de recours aux travailleurs frontaliers a même progressé dans les secteurs encore dynamiques et que la France (la Lorraine) reste l’un des principaux territoires de recrutement de l’économie grand-ducale. Mais des signes d’essoufflement du travail frontalier se font ressentir, avec en particulier un tassement (voire une baisse) du nombre de navetteurs en provenance de Belgique et d’Allemagne.
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