« Le BCFL, un an après : Bilan et orientations »

BCFL

Le Business Club France-Luxembourg a tenu sa première Assemblée Générale le 4 mai dernier à Paris.

Précédée d’un Conseil d’administration et clôturée par un cocktail de networking, la journée a permis de dresser un état des lieux des activités et du fonctionnement du BCFL, en présence d’une soixantaine d’adhérents.

Après un mot d’introduction du Président du BCFL, M. Christopher Baldelli (Président du directoire RTL France), qui a également annoncé l’ordre du jour de la réunion, la parole a été donnée aux deux « parrains » du BCFL que sont l’Ambassade du Luxembourg en France (au travers de S.E.M. l’ambassadeur Paul Dühr) et la Chambre de Commerce du Grand-Duché de Luxembourg (au travers de son Vice-président, M. Robert Dennewald).

Ont ensuite été présentés, respectivement par la Secrétaire Générale, Mme Laurence SDIKA et le Trésorier du BCFL, M. Guillaume Colin :

Quasiment un an après son lancement, fin juin 2O15, le BCFL compte ainsi 249 membres (136 luxembourgeois et 113 français), représentatifs de la diversité des tissus sectoriels français et luxembourgeois (Banque-finance, conseil, TIC, agroalimentaire, immobilier et construction, transport, logistique, écotechnologies, santé, aérospatial, médias, loisirs, ESS…).

Avec un grand nombre d’événements organisés en propre au cours du premier exercice ou pour lesquels le BCFL a été associé (GIL Monaco, événement LfF à Paris, Conférence COP 21 etc.), les membres du Business Club ont eu de multiples occasions d’échange et de réseautage, en France comme au Luxembourg.

Rendez- vous a été pris pour que la tendance perdure, d’autant que les adhérents seront mis à contribution. En effet, parmi les propositions retenues, celle de constituer des regroupements de membres qui animeraient des initiatives ou projets sectoriels a fait l’unanimité.

A également été adoptée la proposition  de poursuivre les échanges amorcés lors de l’événement de janvier 2016 dédié à la thématique « Le Silicon Duchy à la rencontre de la Frenchtech ». Ainsi, avec le concours des partenaires incontournables en la matière (notamment Business France, nyuko, Silicon Luxembourg, Luxinnovation, le Technoport, Lux Future Lab, Alliancy le Mag, Innovation Responsable, PwC Luxembourg et Lorraine ainsi que la ville de Metz pour éventuellement un rapprochement avec LORnTECH), l’idée de la création d’une communauté FrenchTech à Luxembourg et réciproquement d’un hub Silicon Duchy en France fait son chemin.

La question d’un « numerus clausus » a en revanche fait débat, certains membres s’interrogeant sur sa légitimité. Tel qu’expliqué par le président du BCFL, il ne s’agit pas de fixer de manière rigide un effectif limite mais d’encadrer, si l’on atteint par exemple le chiffre de 300 membres, les adhésions futures. Ceci principalement afin de garantir une diversité des profils, de demeurer à taille humaine et de conserver un équilibre entre les nationalités et les types d’adhésions (sociétés ou individuelles), sans pour autant viser un objectif de stricte parité.

La solution retenue a dès lors permis de concilier les positions en introduisant une procédure en deux temps (pour le cas où le chiffre des 300 adhérents était atteint et que des candidatures restaient pendantes):

  1. Système de double cooptation via deux membres qui parraineraient un autre membre potentiel.
  2. Examen ensuite par le bureau exécutif pour encadrer le processus d’adhésion.

La liste des événements envisagés a ensuite été déroulée de pair avec les perspectives budgétaires 2016.

Le détail des propositions et orientations BCFL 2016 est consultable ici.