Fondation IDEA
Toutes les révolutions industrielles ont un point commun, l’innovation. Elle entraîne une transformation profonde des modes de production des entreprises et touche également à tous les aspects de la vie quotidienne. Aujourd’hui, le Luxembourg se trouve au cœur d’une nouvelle révolution. Une qui est définie par le couplage des technologies d’information et de communication et des énergies renouvelables, dont leur essor devrait continuer à influencer notre environnement socio-économique.
De la théorie des cycles…
L’intensité des activités économiques peut connaître des variations irrégulières. De manière plus ou moins fréquente, on peut observer des phases d’expansion voire de ralentissement de l’activité économique. Un va-et-vient qui a incité par le passé un bon nombre d’économistes à s’intéresser à la question des forces faisant fluctuer l’économie d’une telle manière. Les théories portant sur les cycles économiques les plus répandues émanent de Kitchin, Juglar ou encore Kondratiev, qui se différencient notamment selon leur durée. Le cycle dit « Kitchin », provoqué principalement par des variations de stocks, couvre habituellement des cycles mineurs de 3 à 4 ans, tandis que le cycle dit « Juglar » couvre une période d’environ de 10 ans, suscité principalement par des oscillations des investissements en capital fixe. La thèse de Kondratiev s’oriente plus loin dans l’avenir.